En Europe et à l’international

La Fédération Nationale du Cheval active en Europe et à l’international pour défendre la filière agricole cheval française

La Fédération Nationale du Cheval active en Europe et à l'international pour défendre la filière agricole cheval française

Une présence forte à l’Europe

La FNC est Vice-Présidente du Working Party on Horses au sein du COPA (Comité des Organisations Professionnelles Agricoles). Elle assure ainsi la défense des intérêts des éleveurs et agriculteurs diversifiés de la filière Cheval. En effet, l’agriculture européenne, comme française, ce sont d’abord celles et ceux qui travaillent dans leurs structures. Celles et ceux qui, par ce travail, donnent du sens aux territoires. Ainsi nous œuvrons pour que la Politique Agricole Commune soutienne et accompagne ces femmes et ces hommes.

Nous développons également nos relations avec nos homologues des autres pays européens. Nous favorisons aussi des relations avec les autorités publiques de différents pays du monde à travers le réseau des attachés agricoles présents à Paris.

Qu’est ce que le COPA ?

Comité des Organisations Professionnelles Agricoles : composé de 60 organisations issues des pays de l’Union européenne et de 36 organisations partenaires d’autres pays d’Europe, comme l’Islande, la Norvège, la Suisse et la Turquie. Ainsi, les autorités communautaires le reconnaissent comme le porte-parole de l’ensemble du secteur agricole européen.


Notre position à l’international

Les négociations de type bilatérales s’intensifient alors que l’OMC ne fonctionne presque plus. Nous nous opposons à la signature de ces accords dans lesquels l’agriculture est un sujet conflictuel. En effet, que ce soit TTIP (traité transatlantique de partenariat et d’investissement entre les Etats-Unis et l’Union Européenne), Ceta (L’accord économique et commercial global entre le Canada et l’UE) ou encore Mercosur, ils mettent tous en péril nos filières agricoles.

Aux côtés de la FNSEA, de Jeunes Agriculteurs et d’Interbev, nous nous opposons donc à ce que l’agriculture serve de variable d’ajustement. Nous demandons ainsi un traitement différencié pour questions agricoles au sein des négociations commerciales internationales.